Cet abri maritime a été très prisé depuis des centaines d'années pour les raisons suivantes :
- Il s'agit d'une très belle rade de 7 Km de large entre les 2 abris naturels que
sont d'un côte le Santon et de l'autre le Pic de l'Aïdour. Cette rade est
également protégée côté terre par le Murdjadjo.
- Des fonds marins qui vont de 30 à 40 m de profondeur permettent aux gros
navires d'y entrer.
- Les vents y sont rarement violents.
- Des courants favorables à la navigation.
- La très faible amplitude de la marée qui atteint au maximum 50 cm.
- Positionnement sur une route maritime très fréquentée.
Histoire Avant 1830 : des centaines d'années avant la présence Française |
Histoire Après 1830 : période mieux connue et jusqu'en 1962/1968 |
Grandes réalisations entre 1947 et 1962 (par le Secrétaire Générale de la Mairie François Proto) |
Juillet 1940, une sale histoire dans l'Histoire. |
Guerre d'Algérie le gâchis
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Dirigeants de l'Algérie de moins 215 avant JC à 2017
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Histoire racontée aux enfants en 1950 Nouveau ! |
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Dès la nuit des temps, le site de Mers-el-Kébir a été un abri naturel recherché par les premiers hommes de l'ère néolithique qui vivaient des fruits de la mer.
Puis ce furent les Phéniciens qui s'y établirent, intéressés par la plage de halage et surtout par la colline du Santon qui permettait de surveiller la mer très loin.
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Texte écrit en 1734 par son Excellence Don José Valléjo, Commandant Général espagnol.
C'est un mémoire sur l'état et la valeur des Places d'Oran et de Mers-el-Kébir traduit et annoté par Jean Cazenave paru en 1925 dans la "Revue Africaine".
Mers-el-Kébir,
Cette place est construite sur le cap ou promontoire qui forme le Grand Port (en arabe Mersa-el-Kébir) ; elle a l’aspect d’un rectangle long et étroit ; ses murs, de maçonnerie et d’une hauteur suffisante, reposent sur le rocher ; du côté de la terre existent des défenses régulières, des fortifications extérieures et des fossés creusés dans le roc vif.
A l’intérieur, on ne trouve pour ainsi dire pas de bâtisse pouvant servir de caserne à la troupe ; de sorte que la garnison actuelle, qui ne comprend qu’un bataillon, vit presque toute entière sous la tente, exposée aux intempéries des saisons et décime par les maladies ; les officiers ne sont pas plus favorisés que les soldats.
A l’ouest s ‘élève, à moins d’un tir de pistolet de son chemin couvert, la montagne dite du Saint (el Santo) qui domine complètement son enceinte. Pour la protéger, lorsqu’on construisit cette forteresse, on la dota d’un grand nombre de retranchements, dont la plus grande partie aujourd’hui tombent ou menacent de tomber en ruine.
Ses murailles, aussi bien celles des fortifications que celles de l’enceinte principale, sont presque totalement dépourvues de parapets, ainsi que l’estacade (du mot espagnol estaca = pieu) est une défense faite de grosses et longues pièces de bois reliées ensemble), la banquette (partie du rempart située immédiatement derrière le parapet d’où les soldats tirent) manque à son chemin couvert. Les remparts, sur plusieurs points, et les angles extérieurs ne sont pas assez protégés. L’artillerie comprend 27 canons de bronze et de fer ; il faudrait encore 13 autres bouches à feu. Les murailles, comme toutes les fortifications d’Oran, sont mal construites ; elles ont l’avantage de reposer sur le roc et d’être revêtues de maçonnerie sur toute la partie qui se trouve au dessus du cordon (Terme de fortification qui sert à désigner les grosses pierres en forme de cordon qui ceignent le murailles de places fortes).
Mers-el-Kébir ne possède d’autre eau que celle des citernes, suffisante d’ailleurs pour une garnison ordinaire.
C'est en 1830 que les Français arrivent à Mers-el-Kébir.
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En 1842, le Gouverneur Général en Algérie, le Lieutenant Général Bugeaud (connu pour sa casquette) demandait à son Directeur de l’intérieur Guyot d’aller voir la possibilité de construire un entrepôt et des quais dans la région d’Oran et Mers-el-Kébir.
Voici ce qu’il en a dit.
A propos de la route :
« En retournant à Mers-el-Kébir, j’ai pu examiner la route (commencée en 1832) qui unit cette localité à la ville d’Oran. Cette route taillée dans le roc, le tunnel qu’elle traverse et la bonne direction des pentes font honneur au Génie militaire qui l’a ouverte et aux Ponts et Chaussées qui l’ont améliorée. Il est à regretter qu’elle ne soit pas plus large et il sera prudent d’y construire presque partout des parapets comme il en existe sur certains points. Leur entretien et les éboulements qui se renouvellent chaque hiver des terrains supérieurs occasionnent des dépenses que votre Excellence doit s’attendre à retrouver dans chaque budget. »
A propos des eaux thermales :
« Les eaux thermales exploitées par l’Établissement des Bains de la Reine que l’on rencontre sur cette route, méritait notre attention. La grotte où ils sont établis est fort ancienne ; pratiquée bien au-dessous du niveau de la route, elle avait été encombrée par les déblais de cette route. Depuis, cette grotte elle même a été déblayée. Une pompe et des baignoires y ont été installées. Les eaux thermales proviennent de deux sources de même nature, mais inégalement chaudes …
… Un petit hôtel fort bien tenu sert déjà d’abri aux malades qui se rendent à ces bains. L’administration militaire qui en ordonne un grand usage n’a jusqu’à présent accordé aucune rétribution au concessionnaire. Il le recommande à la sollicitude de votre Excellence, car c’est un homme dont les efforts doivent être encouragés et il est à craindre que de longtemps il ne trouve pas dans les malades civils une rémunération suffisante de ses utiles travaux. »
A propos du village :
« On aurait peine à comprendre comment une population a pu se décider à élever des constructions sur ce rocher abrupt et à combattre avec ses propres ressources les difficultés d’une position aussi ingrate, si l’on ne savait combien est puissante l’industrie particulière quand un intérêt réel vient la mettre en jeu. Il est à regretter surtout que des efforts si énergiques n’aient pas été secondés et dirigés. Il est devenu difficile il est grandement temps de rétablir un peu de symétrie dans le désordre des constructions et surtout de ménager les pentes des rues de manière à les rendre facilement praticables. Il sera encore possible de régulariser les pentes du terrain ou plutôt du rocher sur lequel serpente la rue la plus importante. C’est un travail urgent. Une autre rue pourra être ménagée, en prenant la pente de très loin, de manière à venir aboutir à l’emplacement conquis sur le roc en face de la Marine. Les habitants aideront à ce travail en prenant leurs matériaux sur ce point aussitôt que la rue aura été tracée… »
La police :
"Cette population composée pour la majeur partie d'Espagnols parait laborieuse et rangée. La police est faite et il règne plus d'ordre dans cette petite bourgade que sur beaucoup d'autres points placés dans des conditions plus favorables."
Le phare :
"... Je signalerai le Phare de Mers-el-Kébir dont la construction élégante est due à M. Aucourt d'après quelques dessins de M. Pézerat et que j'ai visité avec une véritable satisfaction. J'arrive, Monsieur le Ministre, à divers objets qui se rattachent à l'avenir de ce port et à la création d'un entrepôt qui nous a préoccupé."
L'entrepôt provisoire :
"Je ne m'arrêterai pas sur l'entrepôt provisoire qui est actuellement créé à la demande du commerce par les soins de la Direction des Finances dans une partie du port affectée à cette destination. Les magasins assez vastes seront à 30 mètres au moins au-dessus du rivage; les colis n'y parviendront qu'à force de crics et de grues. La circulation intérieure sera très difficile. Cette création est donc une grande preuve de la bonne volonté de l'Administration qui ne pouvait pas mieux et le commerce lui en saura gré, malgré tout, parce qu'il y trouvera une économie de 30% sur les frais que lui occasionne la nécessité d'envoyer ses colis à l’entrepôt d'Oran et de les faire revenir. D'ailleurs comme je l'ai dit cet établissement est purement provisoire.
Avant d'arriver à la question de l'entrepôt définitif, voici deux objets que je dois particulièrement signaler comme s'y attachant :"
Le quai :
« D’abord la construction d’un quai à Mers-el-Kébir. Quoique l’entrepôt doive appeler le mouvement et la population sur un point assez éloigné du village actuel, comme ce village borde le meilleur mouillage, les établissements de la marine y resteront inévitablement et avec eux, les marins, les passagers, beaucoup de marchandises, une grande circulation ; mais la place manque ; cette place il faut la conquérir sur la mer et sur le roc… »
L’eau :
« Enfin Mers-el-Kébir manque d’eau. Une seule fontaine élevée sur la route d’Oran, fournit à peine 1000 litres d’eau par 24 heures et les navires mouillés dans le port sont dans la nécessité d’envoyer leurs barques faire de l’eau à Oran. J’ai cherché s’il y aurait possibilité de satisfaire sans trop de frais ce besoin à l’aide de plusieurs sources de la montagne voisine. Il est douteux qu’elles puissent être suffisantes et il est à craindre qu’il ne faille tenter d’amener vers Mers-el-Kébir des eaux des aqueducs d’Oran. Cependant la fontaine actuelle peut également être améliorée. Enfin un magnifique bassin espagnol en bon état de conservation pourra devenir facilement une citerne d’une dimension peu commune et où les eaux de la montagne seront recueillies et conservées … »
L’entrepôt (définitif) :
« … C’est en première ligne le commerce interlope que l’on veut favoriser et qui désertera inévitablement Gibraltar quand il trouvera des approvisionnements et des facilités à Mers-el-Kébir …
… Indépendamment de ce commerce, l’Entrepôt, en fournissant des marchandises aux innombrables navires qui traversent le détroit, fera à Gibraltar et à Cadix la même concurrence que cette dernière ville, devenue port franc, a faite à la première avec tant d’avantages, les commerçants d’Oran prêtant l’appui de leur expérience à ces espérances logiques …
… Au profit de qui se fera le commerce interlope, autrement dit, cette contrebande d’Oran ? N’est-ce pas au profit des marchandises anglaises ? Ne jouerons nous pas en cela le jeu de l’Angleterre bien plus que le nôtre ? – et si cela était, serait-ce donc pour favoriser le commerce anglais que nous ferions une chose que sans faire preuve de trop de pruderie, on peut qualifier de blessante pour le droit des gens ? Le Nord de l’Espagne lutte avec nous contre l’invasion des fabriques anglaises et se défend contre la contrebande et nous allons en quelque sorte prendre parti contre la Catalogne. Nous favorisons par le fait la contrebande, malgré les principes du droit des gens et au profit d’un ennemi, d’un concurrent du moi s aux dépens d’une puissance alliée. En vérité et quoique les promoteurs et les partisans du projet se le dissimulent peut être, les produits de ce commerce illicite ne forment-ils pas la plus grande partie de leurs espérances ? Quoi qu’il en soit la question m’a paru mériter d’être posée et soumise à l’appréciation du Gouvernement . je désire me tromper et que la création de l’Entrepôt se justifie par d’autres avantages …
Tout ce qui se rattache aux conditions à faire au commerce ne rentrant pas dans mes attributions, je ne m’occuperai pas autrement de cette question que pour faire une simple observation sur ce que je crois savoir su système que doit proposer mon Collègue. Ce système consisterait, si je suis bien instruit, à isoler complètement l’entrepôt du territoire et à en faire, au moyen d’une enceinte de murailles, une sorte de terrain neutre où le commerce agirait en toute liberté ; sa ligne des douanes même ne serait placée qu’à l’extérieur. On se demande si la localité et le trésor n’aurait pas à souffrir de cet ensemble de dispositions. »
Signé Guyot le 15 décembre 1842
La commune a vu le jour sur le plan administratif par une Ordonnance Royale du 31 janvier 1848 et elle a pris définitivement le nom de Saint André de Mers el-Kébir par décret de Napoléon III du 23 mars 1864.
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Grandes réalisations entre 1947 et 1962
par le Secrétaire Générale de la Mairie François Proto
Rassemblement des Forces Navales le 14 juin 1959 en rade de Mers-el-Kébir
Raconté par Raoul Silvert
- le Croiseur DE GRASSE
- Le porte avions BOIS BELLEAU, LE CHATEAU RENAUD
- tous les escorteurs d'Escadre type VAUQUELIN et CASSARD
- les escorteurs rapides du type le Picard - le Provençal
- les patrouilleurs nouveaux modèles type Étourdi
- ensuite tous les escorteurs qui avaient fait la guerre 39/45 et l'INDOCHINE et qui étaient basés à ORAN au Fort LAMOUNE pour assurer la SURMAR (surveillance Maritime) de l'Algérie 45 jours de mer 15 jours à quai nous patrouillons nuits et jours dans les secteurs différents de NEMOURS à LACALLE.
Ces bateaux de noms le CIMETERRE LE FANTASSIN- LE COUTELAS - LE CHAMOIS -LE CHEVREUIL- LA GAZELLE - LE KABYLE - LE SAKALAVE - LE TOUAREG- leBAMBARA destroyer américains prêtés à la France après la guerre pour recomposer sa flotte. Ces trois derniers bâtiments avaient été réarmés pour cette occasion de la revue navale par des anciens marins réservistes d'Algérie et de Bretagne une ambiance extraordinaire régnait à bord.
Dirigeants de l'Algérie de moins 215 avant JC à 2017
Rois Numides :
• Rois de la Numidie occidentale des Massaessyles :
• Roi Syphax (215 av J.C à 220 av J.C)
• Rois de la Numidie orientale des Massyles :
• Roi Zelalsen (vers 225 av J.C jusqu’à vers 215 av J.C)
• Roi Gaïa (vers 215 av J.C à 207 av J.C)
• Roi Ozalces (207 à 206 av JC)
• Roi Capusa (206 à 206 av JC)
• Roi Lacumazes (206 à 206 av JC)
• Roi Massinissa (206 à 202 av JC), qui unifia la Numidie
Rois de la Numidie unifiée :
• Roi Massinissa (202 à 148 av JC)
• Roi Micipsa (148 à 118 av JC)
• Roi Gulussa (148 à 145 av JC) – vice-roi, ministre de la guerre
• Roi Mastanabal (145 à 118 av JC) – vice-roi, ministre de la justice
• Roi Adherbal (118 à 112 av JC)
• Roi Hiempsal I (118 à 118 av JC)
• Roi Jugurtha (118 à 106 av JC)
• Roi Gauda (106 à 88 av JC)
• Roi Hiempsal II (88 à 60 av JC)
• Roi Juba I (60 à 46 av JC)
• Souveraineté saisie par la République romaine ( 46 a 30 a JC)
• Roi Juba II (30 à 23 av JC)
• Roi Ptolémée de Maurétanie (23 av JC à 40 ap JC)
Occupations Romaines :
• Empereur Auguste (25 av JC à 14)
• Empereur Tibère (14 à 37) – Tacfarinas dirige une résistance
• Empereur Caligula (37 à 41)
• Empereur Claude Ier (41 à 54)
• Empereur Néron (54 à 69)
• Empereur Vespasien (69 à 79)
• Empereur Titus (79 à 81)
• Empereur Domitien (81 à 96)
• Empereur Nerva (96 à 98)
• Empereur Trajan (98 à 117)
• Empereur Hadrien (117 à 138)
• Empereur Antonin le Pieux (138 à 161)
• Empereur Marc Aurèle (161 à 180)
• Empereur Commode (180 à 192)
• Empereur Septime Sévère (193 à 211)
• Empereur Caracalla (211 à 217)
• Empereur Macrin (217 à 218) – Cet empereur est issu de Cherchell
• Empereur Élagabal (218 à 222)
• Empereur Sévère Alexandre (222 à 235)
• Empereur Dioclétien (284 à 285)
• Empereur Maximien Hercule (285 à 305)
• Empereur Constance Chlore (305 à 306)
• Empereurs d’Occident, jusqu’à Honorius (395-423), puis Valentinien III
(425-455) qui perd en 439 le contrôle du pays au profit de la domination
partielle vandale.
Occupation Vandale :
• Roi des Vandales Genséric (430 à 477)
• Roi Hunéric (477 à 484) – révolte des Berbères Circoncellions
• Roi Gunthamund (484 à 496)
• Roi Thrasamund (496 à 523)
• Roi Hildéric (523 à 530) – son général Hoamer subit une défaite face aux
Berbères
Occupation Byzantine :
• Empereur Justinien (530 à 565)
• Empereur Justin II (565 à 578)
• Empereur Tibère II (578 à 582)
• Empereur Maurice Ier (582 à 602)
• Empereur Phocas (602 à 610)
• Empereur Héraclius (610 à 641)
• Empereur Constantin III (641 à 641)
• Empereur Heraclonas (641 à 641)
• Empereur Constant II (641 à 647)
Califat Omeyade qui succède aux 4 califes dit "el Rashidun" :
• Khalife Muawiya Ier (647 à 656)
• Khalife Yazid Ier (680 à 683)
• Khalife Muawiya II (683 à 684)
• Khalife Marwan Ier (684 à 685)
• Khalife Abd el Malik (685 à 705) – Alger est prise aux Byzantins.
• Khalife Al Walid Ier (705 à 715)
• Khalife Suleymane Ibn Abd el Malik (715 à 717)
• Khalife Omar II (717 à 720)
• Khalife Yazid II (720 à 724)
• Khalife Hisham Ibn Abd el Malik (724 à 743)
Révolte Berbère :
743 à 776) – L’Afrique du Nord s’enflamme sous la direction d’une révolte berbère contre l’impôt et le rite sunnite des Omeyyades. Une armée berbère impose la défaite à deux armées arabes Omeyades (à Chlef et dans le Constantinois) venues d’Espagne et de Damas. L’armée berbère se met en marche , et part de Béjaïa pour réformer le monde islamique
Dynastie Roustemide :
• Imam Abderahmane Ibn Roustoum (776 à 784)
• Imam Abdelwahab Ibn Abderahman (784 à 832)
• Imam Aflah ibn abdelwahab (832 à 871)
• Imam Abou Bakr Ibn Aflah (871 à 871)
• Imam Mohamed Abou Yaqzan (871 à 894)
• Imam Youssef Abou Hatem (894 à 897)
• Imam Yaakoub Ibn Aflah (897 à 901)
• Imam Youssef Abou Hatem – encore – (901 à 906)
• Imam Yakzan Ibn Mohamed (906 à 909)
Dynastie Fatimide :
• Imam Obeyd Allah El Mahdi Bi Allah – (909 à 934). Les armées berbères Kutama de basse Kabylie fondent, sous Ubayd Allah al-Mahdi, la dynastie Fatimide. Les Kutamas mettent fin à la dynastie Rostemides et conquièrent l’Ifriqiya. Lorsqu’ils transfèrent leur cour en Égypte, ils nomment la dynastie Ziride pour les remplacer et imposer l’union.
Dynastie Ziride :
• Ziri ibn Menad (935 à 973)
• Bologhine ibn Ziri (973-983) – construit la ville musulmane d’Alger
• al-Mansur ibn Bologhine (983-995)
• Badis ibn Mansur (995-1015)
• al-Muizz ibn Badis (1015-1062) – les Hilaliens, envoyés par les Fatimides,
détruisent Kairouan, la capitale des Zirides est transféré à Mahdia
• Tamim ibn al-Muizz (1062-1108)
• Yahya ibn Tamim (1108-1131)
• Ali ibn Yahya (1115-1121)
• al-Hasan ibn Ali (1121-1148)
Dynastie Hammadide :
• Hammad ibn Bologhine (1014 à 1028) – fils de Bologhine ibn Ziri et prince
Ziride il fonde la dynastie des Hammadides
• al-Qaid ibn Hammad (1028 à 1045)
• Muhsin ibn Qaid (1045 à 1046)
• Bologhine ibn Muhammad ibn Hammad (1046 à 1062)
• an-Nasir ibn Alnas ibn Hammad, (1062 à 1088)
• al-Mansur ibn Nasir (1088 à 1105)
• Badis ibn Mansur (1105)
• Abd al-Aziz ibn Mansur (1105 à 1121)
• Yahya ibn Abd al-Aziz (1121 à 1152)
Dynastie Almoravide :
• Youssef Ibn Tachfin (1061 à 1106) – fondateur de la dynastie Almoravide
• Ali Ben Youssef (1106 à 1142)
• Tachfin Ben Ali (1142 à 1146)
• Ibrahim Ben Tachfin (1146-1147)
• Ishaq Ben Ali (1147)
Dynastie Almohade :
• Abd al-Mumin (1145 à 1163) – fondateur de la dynastie des Almohades
• Abu Yaqub Yusuf (1163 à 1184)
• Abu Yusuf Yaqub al-Mansur (1184 à 1199)
• Muhammad an-Nasir (1199 à 1213)
• Yusuf al-Mustansir (1213 à 1223)
• Abd al-Wahid al-Makhlu (1223)
• Abu Muhammad al-Adil (1224 à 1227)
• Yahya al-Mutasim (1227 à 1235)
• Abu al-Hasan as-Said al-Mutadid (1242 à 1248) – il réussit à récupérer une
partie de l’ouest de l’Algérie alors annéxé par les Hafsides
Dynastie Hafside :
• Yahya I (1229-1249)
• Muhammad I al-Mustansir (1249-1277)
• Yahya II al-Watiq (1277-1279)
• Ibrahim I (1279-1283)
• Abd al Aziz I (1283)
• Ahmad Ibn Abi Umara (1283-1284)
• Omar I (1284-1295)
• Muhammad II al-Muntasir (1295-1309)
• Abu Bakr I ach-Chahid (1309)
• Khalid I an-Nasir (1309-1311)
• Zakarija I al-Lihyani (1311-1317)
• Muhammad III al-Mustansir al-Lihyani (1317-1318)
• Abu Bakr II al-Mutawakkil (1318-1346)
• Omar II (1346-1347)
• (court règne du mérinide Abu al-Hasan ben Uthman (1347))
• Ahmad I al-Fadî al-Mutawakkil (1348 – 1350)
• Ibrahim II al-Mustansir (1350-1369)
• Khalid II (1369-1370)
• Ahmad II al-Mustansir (1370-1394)
• Abd al-Aziz II al-Mutawakkil (1394-1434) – sous son règne l’empire s’étend
d’Alger à Tripoli
• Muhammad IV al-Mutansir (1434-1435)
• Othman (1435-1488)
• Yahya III (1488-1489)
• Abd al-Mumin (1489-1490)
• Zakariya II (1490-1494)
• Muhammad V al-Mutawakkil (1494-1526)
Dynastie Zyanide :
• Yghomracen Ibn Zyan (1236 à 1283) – Fonde la dynastie dont la capitale est
Tlemcen. Cette dynastie est également appelée Abdalwadide.
• Othmane Ibn Yghomracen (1283 à 1304)
• Abou Zeyane Mohamed Ier Ibn Othmane (1304 à 1308)
• Abou Hammou Moussa II (1353 à 1389) – Prend Alger.
• Abou Zeyane (1389 à 1389)
• Abou El Hadjadj Youssef (1389 à 1393)
• Abou Zeyane (1393 à 1399)
• Abou Mohamed (1399 à 1401)
• Abou Abdallah El Tensi (1401 à 1410)
• Moulay Said Ibn Abou Hammou (1410 à 1411)
• Abou Malek (1411 à 1425)
• Abou Fares (1425 à 1425)
• Abou El Abas Ahmed (1425 à 1425)
• Moulay Mohamed (1425 à 1435)
• Moulay Abdallah (1435 à 1437)
• Abou Zeyane (1437 à 1438)
• El Moutawakel (1438 à 1475)
• Mohamed (1438 à 1460)
• Abou Zakaria (1460 à 1488)
• Abou Abdallah Mohamed (1488 à 1505)
• Abou Abdallah Mohamed II (1505 à 1512) – il traite avec les espagnols qui
contrôle déjà Alger, Oran , Béjaïa, Mers el Kébir et Ténès. Les Algériens font
appel aux Ottomans pour venir les aider.
Régence d'Alger :
• Arudj Barberousse (1515 à 1518)
• Khayr ad-Din Barberousse (1518 à 1520)
• Ahmed Ben El Cadi (1520 à 1527)
• Kheirdine Barbarossa (1527 à 1533)
• Hassan Agha (1533 à 1545)
• Hassan Pacha Ibn Kheirdine (1545 à 1551)
• Salah Rais (1551 à 1556)
• Mohamed Kourdougli (1556 à 1556)
• Caid Youssef (1556 à 1556)
• Yahia Pacha (1556 à 1556)
• Hassan Pacha Ibn Kheirdine (1556 à 1561)
• Ahmed Pacha (1561 à 1561)
• Hassan Pacha Ibn Kheirdine (1561 à 1567)
• Mohamed Ibn Salah Rais (1567 à 1568)
• El Euldj Ali (1568 à 1571)
• Arab Ahmed (1571 à 1573)
• Caid Ramdan (1573 à 1577)
• Hassan Veneziano (1577 à 1580)
• Djaffar Pacha (1580 à 1582)
• Caid Ramdan (1582 à 1582)
• Hassan Veneziano (1582 à 1587)
• Dely Ahmed ( 1587 a 1589)
• Khider (1589 à 1591)
• Chaabane (1591 à 1595)
• Khider (1595 à 1596)
• Mustapha (1596 à 1599)
• Deli Hassan Boukricha (1599 à 1600)
• Suleymane (1600 à 1604)
• Khider (1604 à 1605)
• Mustapha El Koussa (1605 à 1607)
• Redouane (1607 à 1610)
• Mustapha El Koussa (1610 à 1611)
• Mustapha (1611 à 1614)
• Hocine (1614 à 1616)
• Mustapha (1616 à 1617)
• Suleymane Pacha (1617 à 1618)
• Hocine Pacha (1618 à 1619)
• Sidi Saref Hadji (1619 à 1621)
• Hocine Pacha, gouverneur de Sousse (1621 à 1623) – Épidémie de peste à
Alger, bombardement anglais, bombardement hollandais
• Mourad Pacha El Aama (1623 à 1624)
• Ibrahim Pacha (1624 à 1624)
• Sidi Saref Hadji (1624 à 1626)
• Hocine Pacha (1626 à 1630)
• Younes Pacha (1630 à 1632)
• Hocine Pacha (1632 à 1634)
• Youssef Pacha (1634 à 1637)
• Ali Pacha ( 1637 a 1639)
• Cheikh Hocine (1639 à 1640)
• Abou Jamal Youssef (1640 à 1642)
• Mohamed Boursali (1642 à 1645)
• Ali Betchine (1645 à 1645)
• Mohamed Boursali (1645 à 1647)
• Abou Jamal Youssef (1647 à 1647)
• Othmane (1647 à 1651)
• Mohamed (1651 à 1653)
• Tobal (1653 à 1655)
• El Hadj Ahmed (1655 à 1656)
• Ibrahim (1656 à 1656)
• El Hadj Ahmed (1656 à 1657)
• Ismail Ibn Ibrahim (1657 à 1659)
• Khelil (1659 à 1660)
• Ramdan (1660 à 1661)
• Chaabane (1661 à 1665)
• Ali (1665 à 1671)
• Hadj Mohamed (1671 à 1681)
• Baba Hassen (1681 à 1683)
• El Hadj Hussein Pach el Dey anciennement Mezzo Morto (1683 à 1688)
• Ibrahim Khodja ( 1688 a 1688)
• Hadj Chaabane Bey (1688 à 1695)
• El Hadj Ahmed (1695 à 1698)
• Baba Hassen (1698 à 1700)
• Hadj Mustapha (1700 à 1705)
• Hocine Khodja (1705 à 1707)
• Mohamed Baktache ( 1707 a 1710)
• Dely Brahim (1710 à 1710)
• Ali Chaouch (1710 à 1718)
• Mohamed Ben Hassan (1718 à 1724)
• Kourd Abdi (1724 à 1732)
• Baba Ibrahim (1732 à 1745)
• Ibrahim Koutchouk (1745 à 1748)
• Mohamed Ben Bekir anciennement Il Retorto (1748 à 1754)
• Baba Ali Bou Sbaa (1754 à 1766)
• Mohamed Ben Osmane Khodja (1766 à 1791)
• Dey Hassan (1791 à 1798) – Père de la célèbre Khedaouedj el aamia, et
beau-père du futur Dey Hussein.
• Dey Mustapha (1798 à 1805)
• Ahmed Khodja Bey (1805 à 1808)
• Hadj Ali (1808 à 1809)
• Hadj Ali (1809 à 1815)
• Mohamed Kharnadji (1815 à 1815)
• Omar Agha ( 1815 a 1817)
• Ali Ben Ahmed (1817 à 1818)
• Dey Hussein (1818 à 1830)
Présence Française :
• Charles X (1830 à 1830)
• Louis Philippe (1830 à 1848)
• Louis Napoléon Bonaparte (1848 à 1852)
• Napoléon III (1852 à 1870)
• Louis Jules Trochu (1870 à 1871)
• Adolphe Thiers (1871 à 1873)
• Patrice de Mac-Mahon (1873 à 1879)
• Jules Grévy (1879 à 1887)
• Marie François Sadi Carnot (1887 à 1894)
• Jean Casimir-Perier (1894 à 1895)
• Félix Faure (1895 à 1899)
• Émile Loubet (1899 à 1906)
• Armand Fallières (1906 à 1913)
• Raymond Poincaré (1913 à 1920)
• Paul Deschanel (1920 à 1920)
• Alexandre Millerand (1920 à 1924)
• Gaston Doumergue (1924 à 1931)
• Paul Doumer (1931 à 1932)
• Albert Lebrun (1932 à 1940)
• Charles de Gaulle (1940 à 1946) (…)
• Félix Gouin ( 1946 a 1946)
• Georges Bidault ( 1946 a 1946)
• Léon Blum (1946 à 1947)
• Vincent Auriol (1947 à 1954)
• René Coty (1954 à 1959)
• Charles de Gaulle (1959 à 1962)
Actuels :
• Ahmed Ben Bella (1962 à 1965)
• Mohamed Boukharouba Alis Houari Boumedienne (1965 à 1978)
• Rabah Bitat (1978 à 1979)
• Chadli Bendjedid (1979 à 1992)
• Mohamed Boudiaf (1992 )
• Ali Kafi (1992 à 1994)
• Liamine Zeroual (1994 à 1999)
• Abdelaziz Bouteflika (1999 à aujourd’hui)
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L'Histoire telle qu'elle était encore racontée aux enfants en 1950
c'était avant le début de la décadence de la France
Histoire 1950 01
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